«Que serait un monde où l’on devient homme par la douceur et non par la douleur?», s’interroge Olivia Gazalé dans Le Mythe de la virilité.
Avec Boys Club, la Cie Kosa mène une réflexion sur l’identité masculine et sa nécessité de se réinventer. Dans une époque marquée par les revendications et les débats autour de l’égalité des genres, et face à l’épouvantail d’une hypothétique «¿crise de la masculinité» agité par les milieux conservateurs, la compagnie embrasse l’idée de l’homme «juste», selon la formule d’Ivan Jablonka. La pièce invite les hommes à remettre en question leurs modèles de virilité et leur position de domination, et à s’interroger sur leur rôle dans la construction d’une société plus égalitaire
Avec Boys Club, la Cie Kosa mène une réflexion sur l’identité masculine et sa nécessité de se réinventer. Dans une époque marquée par les revendications et les débats autour de l’égalité des genres, et face à l’épouvantail d’une hypothétique «¿crise de la masculinité» agité par les milieux conservateurs, la compagnie embrasse l’idée de l’homme «juste», selon la formule d’Ivan Jablonka. La pièce invite les hommes à remettre en question leurs modèles de virilité et leur position de domination, et à s’interroger sur leur rôle dans la construction d’une société plus égalitaire